Premier réflexe : le diagnostic
Repérée et identifiée tôt, l’allergie se soigne mieux
Partant de ce constat, il ne faut pas hésiter à consulter un médecin dès l’apparition des premiers symptômes. Un nez qui coule, bouché ou qui démange, une toux dont on n’arrive pas à se débarrasser ou des séries régulières d’éternuements peuvent être les signes, au-delà des habituelles maladies hivernales (grippes, rhumes, angines, etc.), d’une allergie respiratoire.
Premier consulté pour la prise en charge des symptômes, le médecin traitant va contribuer à évaluer le risque d’allergie. Il orientera éventuellement le patient vers un allergologue qui réalisera un diagnostic précis. On l’a vu, les allergies peuvent s’aggraver : il faut donc tout faire pour les identifier et mettre en place rapidement un traitement adapté.
Un bilan allergologique en plusieurs étapes
L’allergologue va commencer par un interrogatoire minutieux pour identifier les symptômes et s’intéresser aux circonstances dans lesquelles ils apparaissent. Il cherche ainsi à établir un lien entre la présence possible d’un allergène et l’apparition des symptômes et des crises.
Il va également étudier les cas d’allergie dans la famille du patient, puis évoquer avec lui ses conditions de vie (tabagisme, lieu de vie, loisirs…).
Cette « enquête » permet à l’allergologue de déterminer si un allergène peut être responsable de la maladie. Si un risque d’allergie est supposé, l’allergologue va chercher l’allergène en cause, à l’aide de tests cutanés, voire d’examens biologiques (prise de sang) et pratiquera une mesure du souffle s’il soupçonne l’existence d’un asthme. Un traitement adapté pourra alors être mis en place sur la base d’une discussion entre le patient et l’allergologue.
Premier réflexe : le diagnostic
Repérée et identifiée tôt, l’allergie se soigne mieux
Partant de ce constat, il ne faut pas hésiter à consulter un médecin dès l’apparition des premiers symptômes. Un nez qui coule, bouché ou qui démange, une toux dont on n’arrive pas à se débarrasser ou des séries régulières d’éternuements peuvent être les signes, au-delà des habituelles maladies hivernales (grippes, rhumes, angines, etc.), d’une allergie respiratoire.
Premier consulté pour la prise en charge des symptômes, le médecin traitant va contribuer à évaluer le risque d’allergie. Il orientera éventuellement le patient vers un allergologue qui réalisera un diagnostic précis. On l’a vu, les allergies peuvent s’aggraver : il faut donc tout faire pour les identifier et mettre en place rapidement un traitement adapté.
Un bilan allergologique en plusieurs étapes
L’allergologue va commencer par un interrogatoire minutieux pour identifier les symptômes et s’intéresser aux circonstances dans lesquelles ils apparaissent. Il cherche ainsi à établir un lien entre la présence possible d’un allergène et l’apparition des symptômes et des crises.
Il va également étudier les cas d’allergie dans la famille du patient, puis évoquer avec lui ses conditions de vie (tabagisme, lieu de vie, loisirs…).
Cette « enquête » permet à l’allergologue de déterminer si un allergène peut être responsable de la maladie. Si un risque d’allergie est supposé, l’allergologue va chercher l’allergène en cause, à l’aide de tests cutanés, voire d’examens biologiques (prise de sang) et pratiquera une mesure du souffle s’il soupçonne l’existence d’un asthme. Un traitement adapté pourra alors être mis en place sur la base d’une discussion entre le patient et l’allergologue.